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Stéphane - Le livre "Salvator– nous gouvernons non notre univers” est devenu pour moi l’évolution logique au protocole syntaxique

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J’aimerais partager avec vous un petit témoignage sur le livre : "Salvator– nous gouvernons non notre univers”. Est devenu pour moi l’évolution logique au protocole syntaxique. Le lire en étant attentif à chaque mot en s’informant s’il y a lieu de son sens est d’une surprenante richesse. Il y a me semble-t-il tellement à puiser dans chaque mot de ce livre. Bref !

J’ai lu dans ce livre le paragraphe suivant : « Comme le Génome et la Noosphère, SALVATOR unira des millions de personnes pour générer les ressources et les capacités de la conscience de chaque personne en possession d’Artefact SALVATOR individuel en une forme collective de l'interaction avec la Nature, capable d’avoir un impact positif dynamique sur les processus planétaires. Il est possible que cette nouvelle sphère SALVATOR soit plus active que la Noosphère et sera en mesure d’avoir même une influence sur le Temps.

Qui m’a donné envie de partager avec vous quelques liens issus de mes recherches par rapport au livre en question.

Tout d’abord à propos de cette phrase : « Dans SALVATOR cela s’appelle « construction des Paysages de l'Attention ».

SALVATOR génère ces Paysages de l’Attention dans des ressources de votre conscience avec l'aide de Savoirs-Images.

Lien : https://www.canal-u.tv/video/universite_de_tous_les_savoirs/qu_est_ce_que_voir_une_image.1405

Aristote

Traité de l’âme.

L’objet de la vue c’est le visible, le visible c’est la couleur et c’est aussi ce qu’il est possible d’énoncer par des mots.

Même si l’objet de la vue peut être sans nom (anonyme).

(Ce que nous disons deviendra clair, par ce que nous allons ajouter) …

En effet le visible est couleurs, et cette couleur s’applique à ce qui est visible par soi, or ce qui est visible par soi-même, ne l’est pas par le fait des mots, mais parce qu’il contient en lui la cause de cette visibilité.

Toute couleur et la mise en mouvement en action du diaphane.

C’est là sa nature, c’est pourquoi il n’y a pas de couleur sans lumière, mais la couleur de chaque chose est vue dans la lumière, c’est pourquoi il faut dire d’abord ce qu’est la lumière.

Il y a donc le diaphane, j’appelle le diaphane ce qui est visible. Non pas ce qui est visible en lui-même, ou on pourrait dire visible absolument, mais visible par l’effet hétérogène de la couleur.

Pour que quelque chose soit vue, il faut qu’il soit coloré. (Tout ce que nous voyons à une couleur) pour que cette couleur soit vue, il lui faut de la lumière. Nous ne voyons pas directement la lumière, mais la couleur dans la lumière. Dans les ténèbres nous ne voyons pas la couleur. Mais les choses n’ont pas perdu leur couleur simplement parce qu’on ne les voit pas. Il faut que la couleur soit, en puissance dans les ténèbres, et en actes en tant que révélation dans la lumière.

Aujourd’hui le diaphane nous l’appellerions l’espace notre univers est fait de 9,99999 % d’espace.

J’aime beaucoup l’esprit russe.