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XIII. La première zone de l’Artéfact SALVATOR. Le cercle des Oceans. Le Savoir-Image de la mémoire du milieu

Les scientifiques de l’Institut Alfred Wegener pour la recherche polaire et marine, (AWI) sous la direction du professeur Boris Kokh, à l’aide d’un masse-spectromètre ultra-précis, ont prouvé l’existence de la «mémoire des Océans». Ils ont défini que l’eau dans l’Océan mondial «garde» l’information sur les organismes vivants qui y avaient habité. Cela s’explique par le fait que l’Océan possède une «mémoire» chimique en gardant l’information sur les organismes qui s’y étaient trouvés sous forme de molécules organiques unitaires.

SALVATOR branche votre conscience sur la perception des images de la mémoire de la biosphère et la transformation de ces images et associations forment signaux éveillant les mécanismes profonds de votre mémoire génétique.

SALVATOR vous permet de déchiffrer et d’utiliser ces masses de données au niveau de votre système central nerveux. Avec SALVATOR cela fonctionne avec la concentration spontanée de votre conscience, grâce au Protocole Syntaxique et l’Artéfact SALVATOR, sans pratiques spéciales et charges sur la psychique et l’énergie de l’homme.

SALVATOR unit la ressource informationnelle de la planète à la nature humaine, et ainsi la mémoire du milieu se transforme en une forme accessible pour l’organisme humain.

Dans de vieilles représentations ésotériques, les poissons participaient à la création du monde ou bien, servaient de support à la Terre. C’est pour cela que le symbole du poisson est un puissant Savoir-Image créatif, conçu par la conscience humaine.

L’écaille de poisson qui encadre la première zone, la zone absorbante, l’Horizon des Evénements de L’Artéfact SALVATOR, incarne le symbole du poisson, connu depuis les cultes antiques. Déjà dans l’antiquité reculée, le poisson s’associait aux Enseignants, aux Sauveurs du monde, aux ancêtres, aux Sages. Le symbole du poisson est lié à Vichnou indien, à Gor égyptien, à Oannès chaldéen, à la déesse grecque de l’amour et de fécondité Aphrodite, au dieu Poséïdon, au dieu babilonais Ea et au Christ. Au début du christianisme, la sainte Trinité était symbolisée par trois poissons.

La symbolique du poisson est étroitement liée à la symbolique de l’élément eau, le berceau de tout ce qui vit, source de vie, mais aussi au savoir secret.

L’écaille de poisson en bronze était une protection matérielle et symbolique des légionnaires romains et des preux russes, c’était leur sauveur, c’était leur SALVATOR.

Toutes ces pratiques et ces images « sont inscrites » dans la mémoire de notre ADN aussi bien que dans la mémoire de la Noosphère, créée par l’activité intellectuelle et créative de l’homme.

Dans l’Artéfact SALVATOR, la symbolique du milieu marin préhistorique fait revenir la conscience humaine dans les profondeurs des savoirs datant de millions d’années d’évolution.

XIV. La deuxième zone de l’Artéfact SALVATOR. Le cercle Homme. La physiologie de l’homme. Le Savoir-Image d’une Conscience libre

A l’aide du SALVATOR, la conscience humaine est nettoyée des distorsions et ouverte à une corrélation entre les éléments du Monde et les éléments intérieurs de son propre organisme. C’est pour cela que ce cercle contient la symbolique du vide, de l’espace nettoyé, prêt à un « branchement » harmonieux dans le grand cercle de la corrélation des images, de la matière et de l’énergie dans l’Univers.

Comme on le sait, l’échange énergétique, informationnel et matériel de l’organisme humain est subordonné à des rythmes déterminés qui unissent l’homme au monde qui l’entoure. Le sang humain est originaire du milieu marin, c’est pourquoi le rythme du sang et de l’Océan coïncident. En même temps, le rythme de l’Océan coïncide avec celui de l’Univers. Et ainsi, le rythme du sang et du coeur de l’être humain coïncident avec le rythme de l’Univers. Dans l’idéal, ces rythmes synchrones créent une harmonie, une bonne santé et du bien-être.

Pour cela, du point de vue idéal SALVATOR, c’est la triade Océan – Homme – Univers, la forme suprême de la réalisation des potentiels de l’homme, de ses possibilités physiques et créatives. Cependant, la conscience humaine, sous l’effet de la singularité et de l’entropie, perturbent ses rythmes. Le sang et les tissus de l’organisme, sous l’effet de violentes perturbations chimiques et organiques nocives déséquilibrent totalement leurs particularités énergétiques et informationnelles.

SALVATOR permet de se libérer de programmes destructifs de l’interprétation de la réalité et synchronise les rythmes des signaux de la conscience humaine avec le rythme du sang, de l’Océan, de l’Univers et avec les archives de la mémoire génétique.

La biologie moléculaire moderne compare ce comportement des cellules de l’organisme avec des processus sociaux, et attribue à certains organes du corps des indices de l’intelligence (le sang, par exemple). Possédant de telles capacités, les cellules, dans certaines conditions, forment un milieu informationnel capable d’opérer avec des données introduites dans les génomes à partir de la mémoire du milieu, pour construire des modèles indispensables au comportement de l’homme.

Par exemple, l’homme a créé des armes (antiques, chevaleresques, de cuirassiers) bien avant les connaissances paléontologiques, imitant des tissus protégeant les corps des animaux anciens (arthropodes, poissons à cuirasse, reptiles terrestres) en profitant inconsciemment des images profondes de la mémoire de la biosphère.

A son tour, SALVATOR forme ses modèles de protections par « cuirasse » au niveau de la conscience cognitive de l’homme, de son niveau de vie et de l’énergétique de son organisme. En le faisant, SALVATOR fait appel au « bureau de construction » intérieur du biosystème humain et aux structures analogues y existant logiquement, ainsi qu’aux régularités : les programmes génétiques ADN et les structures primaires des protéines ressemblent à des lettres, et les structures des protéines et les formes des organes - à des oeuvres de la culture artistique, et les cellules vivantes dans l’organisme humain - à la société humaine.

XV. La troisième zone. Le cercle de l’Univers

Contient des images des systèmes planétaires et des formes de vie en train d’apparaître.

Tout dans le Monde est lié par des fonctions, structures, énergies et processus. L’organisme humain est un système ouvert thermodynamique, corrélant en permanence avec l’environnement et des composantes hélio géophysiques de la Terre et de l’Univers.

Notre organisme reçoit de façon permanente des flux d’énergie. Cependant, tout processus naturel, recevant ou redonnant de l’énergie, porte toujours en lui la création et la destruction. L’objectif de chaque objet naturel est de conserver et d’utiliser l’énergie utile et de transmettre « le programme destructif » à un autre objet par corrélation.

C’est pourquoi notre planète, avec la nourriture et l’énérgie, nous transmet l’entropie (penchement aux processus chaotiques) créant dans notre conscience des programmes destructifs d’interprétation de la réalité. Ce processus provoque des réactions de défense de l’organisme, perfectionne sa physiologie, stimule son développement individuel et l’évolution de son aspect.

L’entropie de la Terre vient du Cosmos, celle de l’homme - de la Terre au travers la biosphère. A son tour, l’homme, en transformant et en utilisant l’énergie qu’il reçoit, transmet l’entropie à l’environnement.

Les Images de l’Univers dans SALVATOR créent une possibilité d’éliminer sans retour les programmes destructifs d’interprétation de la réalité. Et SALVATOR offre cette possibilité non seulement aux utilisateurs séparés mais aussi à toutes les communautés, capables de sauvegarder notre planète, en réalisant des nouvelles images et des instruments de la conscience collective.

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